Chronique de Infinite par le Docteur Eultofio
Il y aurait comme un rien d’électronique, dans cette électricité qui se répand dans l’air, amis de mes jeudi soir, de métal et de rock assoiffés.
C’est aussi, bien coloré d’intentions gothiques, de par la noirceur de cette voix qui harangue ses frères dans l’ombre tapis.
Et pourtant,
Sans mal, ils surgiront, loin de se retrancher.
Et la lumière ? Me direz-vous…
Elle sera éclatante ou ne sera pas.
Comme condamnée à exploser afin que l’ivresse de l’instant soit proche des paradis aux artifices, tant décriés par les croquantes et croquants endimanchés.
Alors, prêt à entrer ?
Il y aurait comme des riffs qui tranchent dans le vif, amis de mes jeudis friands de fosses électrisées.
Comme pour lier ces sons que des Prunes Vierges, ou autres soi-même Auto-Punis ne sauraient renier et l’atmosphère que crée par son chant, un maitre de cérémonie au charisme démoniaque et à la voix, semblant s’élever des enfers.
Il y aurait comme des fûts, par de puissantes frappes martyrisés.
Le martelant batteur offrant à ses camarades, un douillet lit, aux résonnances quasi-tribales, histoire de partir au feu, les coeurs comme gonflé d’un seul bloc et les yeux brillants de fierté, de voir ainsi leur art exposé et leurs fans,
En un seul kiff explosés
Il y aurait comme une profondeur abyssale à explorer, une ambiance prenant aux tripes. Lorsque rugissent ensemble ces six si sibyllins protagonistes et leur musique,
Forgée dans le feu de la passion, polie par l’amour d’un courant qui réclame à ses adeptes, une âme d’artiste complet, sachant mettre un rien de Folie,
Pour que le show soit enflammé.
Alors, amis de mes jeudis soirs, se goinfrant de sons lourds et de riffs acérés
Il est admis, que tu auras soin de compter à rebours, l’heure du kiff annoncé
Sachant que lorsque le zéro de ta bouche sortira, en un hurlement féroce.
Car par les saintes vapeurs du Barils de ‘sky à Lemmy
Tu auras ouvert, sans peur, vile petite canaille en furie
La boîte d’où surgiront ces diables de métalleux de Rosenkreuz