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Chronique

Chronique de The white line par Serge le Barbare & le Professeur Xavier


A l’exacte équidistance entre l’irréel saturé d’incertitudes et l’imaginaire débordant d’éclat de silence tout en voluptueuses illusions d’optique.
On dit qu’il est des espaces où même les absences sont épileptiques, accroche toi, mon petit kodama, dans une fausse lenteur aux formes kaléidoscopique, le son peut s’élever du néant, toucher, par le biais de méandres labyrinthiques, au coeur monde de l’âme et la fendre dans un accès de démence transcendantale,
Les Hommes des Bois ne pensent pas à mal, ils flirtent juste on the White Line

 

D’aucun pourrait argumenter, dans un élan sucré-salé de pragmatisme immodéré, qu’il ne s’agit là que de musique
A n’en pas douter
Mais la musique peut parfois effleurer les sens jusqu’à en faire vibrer l’essence même de ce qui fait de nous, mes adorables branches d’aubépine, des êtres vivants, à la frontière entre l’émotion pure et le désir d’entrapercevoir l’invisible
Toucher du bout des doigts ce que d’autres nomment la grâce divine,
Ce n’est que de la musique certes
Tellement plus que quelques notes jetées au hasard par quelque bucheron désincarné

 

A l’âme rebelle née dans les bas fonds du nouveau monde, le long d’un fleuve boueux, légère comme le baiser volé à une ouvrière des champs, faute ingénue ou bien originelle, de ce murmure est né un cri de liberté, Wood Men en porte le chant.
A coeur de nous faire voyager comme sur les épaules de géants oniriques, rendre accessible la lumière des supernovas, sabrer le champagne avec un baron impossible et y trouver une infinie logique, montrer la beauté de ce qui est caché quelque part entre la fièvre et la nostalgie, Wood Men en porte la mélodie.
A la culture exquise de part le chanel, cet art de lisser les reliefs tout en en soulignant les délicieuses irrégularités, comme pour nous persuader que la Ligne est droite, Blanche autant qu’elle est belle en nous menant à contresens sur des chemins déconstruits, Wood Men en porte l’harmonie.

Entends tu, ami de la Folie, ce cri du plus profond des bois
Comme un appel sauvage à la mélancolie schizophrène
Une attirance irrésistible pour ce qui ne se voit pas
A la frontière des infinis, au son de Wood Men

 






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